Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer En d' autre mots car je ne suis pas Eluard, que jamais on ne nous dicte notre conduite et que l' on décide de ce qui est digne ou pas de nous. Liberté.
lundi 14 février 2011
Paris , je te quitte pour un temps.
Utrillo, Le sacré coeur.
Paris ne rit pas toujours
Le monde se résume en toutes ses façades,
Des verdâtres néons aux flammes des lanternes,
Des verrières de l' arche à la vieille poterne,
des rires de la foire au sang des palissades.
Paris porte son livre ouvert des millénaires,
Roman fleuve chargé des pleurs et des secrets
Que les pigeons confient à ses bateaux ancrés,
Aux reflets des enseignes et des luminaires.
J' ai rêvé de ces nuits où le jour s' éternise,
Des cafés populeux dont l' ethnie fraternise,
De fontaine gloussante et de place en quinconce,
De lampions et de bals dans le soir étésien,
D' airs de jazz échappés des moiteurs d' un caf'conc',
Je crois que j' éprouvais les coeurs des Parisiens. Ecrit le 25 novembre 2009.
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Je te souhaite d'excellentes vacances. Bien à toi.
RépondreSupprimerMerci mon petit frère,j' ose t' appeler ainsi, tu me pardonneras ,prends soin de toi!
RépondreSupprimerT'oublier, qu'elle idée !
RépondreSupprimerJe suis patiente et sait attendre...
Profites surtout de tout et de tous !
J'espère être là à ton retour...
Bonnes vacances !!!
J' y compte bien! quelle idée! Je sais que tu n'es pas équipée pour décevoir,je ne suis pas inquiète, à très vite!
RépondreSupprimerTu vas manquer à Paris, j'entends ses fontaines qui pleurent alors que la tramontane se prépare à t'offrir un paysage de lumière. Chaque souffle découpe un nouveau relief bleu ciel-mer et vert-pin.
RépondreSupprimerParis ne sait pas qui je suis! tu en parles en méditerranéenne connaisseuse! voilà une jolie évocation à partager...
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerComme des éperons? des grelots? des cloches?des crotales? des portes? Quelle idée de se taire! et de ce chapeau que va -t on sortir? des lapins, des foulards , des colombes? Tu en as dit beaucoup en fait.Merci pour ton blog sensible et fantaisiste.
RépondreSupprimerLe Sacré Coeur attendra bien un peu... Bon voyage, goûte bien le jour d'avant c'est toujours le meilleur (pour reprendre les propos d'Erri de Luca).
RépondreSupprimerTouché, flatté, ému je suis par tes propos qui me réchauffent le cœur. A bientôt.
RépondreSupprimerNe pars pas trop loin de la région du cœur Orfeenix, je t'attends...
RépondreSupprimerMon com a glissé je sais pas où, peut-être dans ton sillage. Pas grave, flotte le petit bateau en papier sans prendre l'eau. Bon voyage et à te relire.
RépondreSupprimerIsabelle,
RépondreSupprimerHave I learned that only someone with your talent and sensitivity would create a sonnet to the city she was temporarily leaving?
Wherever you intend to spend your time, don't abandon us here, in the ether of electronic admirers!
Love your poetry!
Trulyfool
Ces strophes nous y emmènent aussi dans les vacances de l'âme.
RépondreSupprimerNocif
Je débarque seulement, alors, que tu es déjà loin.
RépondreSupprimerDonc petit message pour ton retour :
J'espère que tu as passé de bonnes vacances, l'esprit reposé... et prête pour repartir en pleine forme ! Je t'embrasse.
Un peu plus tard, je passe aussi pour te souhaiter de belles vacances! J'entame juste les miennes et dieu que ça fait du bien!
RépondreSupprimerA très bientôt!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEt je m' en vais visiter le sacré coeur de tes photos sans remettre à demain, merci, Frédérique.
RépondreSupprimerAxel, tu as compris que je te considère comme un sensé parmi les sensés, humain parmi les humains, insensé parmi les trop raisonnables,surhumain en tes combats.
RépondreSupprimertison pour le coeur, c' est là que j' étais et tu n' étais pas loin, hâte de lire tes provocations littéraires!
RépondreSupprimerFrédérique j' ai retrouvé ton bateau dans une bouteille à la mer,fluctuat nec mergitur!
RépondreSupprimerTrulywise,
RépondreSupprimerEven if Americans forget lafayette loved their country, i won't forget how kind you are to me!and i won't forget the strongness of your writing either.
Isabelle
Paul qui n'êtes pas Nocif pour moi ce gentil mot de gentilhomme me touche beaucoup.Bienvenue en toute amitié.
RépondreSupprimerA.L, tu es revenue! je suis bien heureuse de te retrouver avec tes étonnantes photos d ' un uivers particulier, je prends mon vaisseau spatial et j' arrive!
RépondreSupprimerLe mot de la pro! Ah mais non! tu n' as pas le droit de te reposer, tu dois continuer à écrire tes textes intimistes qui rendent palpables " ce que l' homme a cru voir".. bon je me résigne s il le faut, mais reviens vite alors!
RépondreSupprimerHeartman, je suis revenue car tout le temps qui passe ne se rattrape guère!
RépondreSupprimercoucou :)
RépondreSupprimerDes fraises et de la tendresse sur mon blog, youpi! Coucou Laurent,ce soir c' est ma tournée de champagne sur blog it!
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